Alors qu’on ne cesse de nous parler de « sens du travail », les mots vides de sens pour l’évoquer n’ont jamais été aussi nombreux. À coups de néologismes, d’anglicismes, d’euphémismes, de mésusages, la langue du travail s’appauvrit. Avec Muriel Bellivier, psychologue du travail, nous revenons sur les raisons de ce phénomène et ses conséquences, dans une note publiée par la Fondation Jean Jaurès et disponible ici.