Si la semaine de quatre jours revêt, dans le monde, des réalités différentes et des modalités variées, cette mesure a partout un point commun : celui de s’apparenter à un symptôme généralisé de l’individualisation de l’organisation du travail. Pour Sarah Proust, experte associée à la Fondation, mettre en place ces nouvelles organisations nécessite donc de trouver où se loge le commun au travail, comment le consolider, comment y faire contribuer chacun afin que chacun en bénéficie.
Vous pouvez retrouver l’intégralité de la note, publiée par la Fondation Jean Jaurès ici